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Politics
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Géopolitique -
Géostratégie. Terrorisme
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Le grand Bazar mondial.
La folle aventure de ces produits
apparemment "bien de chez nous"
Auteur : Benhamou Laurence
Savez-vous que nos draps viennent du Népal, nos choux de
Bruxelles... du Guatemala, nos lunettes et nos rouges à lèvres de
Chine, nos T-shirts du Bangladesh et nos chaussettes de l'Inde,
souvent sous l'étiquette de grandes marques internationales ? Nos
produits de consommation courante sont de moins en moins en chers.
Pourquoi ? Comment ? Quelles en sont les conséquences.
Laurence Benhamou a mené l'enquête qu cœur même de ce système
planétaire que représentent les " acheteurs ". Inconnus du grand
public, ils vont chercher aux quatre coins du monde les produits au
meilleur prix. Ils ne subissent pas la globalisation, ce sont eux
qui la font.
Leurs témoignages révèlent pour la première fois les dessous de
la mondialisation et décrivent une planète dont la réalité
quotidienne est à des années lumières des discours de nos
politiques.
Le Grand Bazar mondial fourmille d'anecdotes et d'informations
inédites. Sa lecture ne laissera aucune consommatrice ni aucun
consommateur indifférente, car le prix de chaque produit est le
résultat d'une mutation économique incontrôlée... et peut-être déjà
contrôlable !
Laurence Benhamou est journaliste économique à l’AFP, spécialiste
du commerce et de la grande distribution.
Editeur Bourin Editeur |












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Non à la Turquie en
Europe Le PIB moyen de l’Europe est de 21.000 euros /
habitant. Celui de la Turquie est de 6.500. Si la Turquie entre
dans l’union, on peut donc s’attendre à une immigration accrue et à
des aides financières de rattrapage considérables.. ....
Avec plus de 65,9 millions d’habitants en 1999 la Turquie,
dont la population a doublé entre 1960 et 1990, deviendrait l’un
des Etats les plus importants au sein de l’Union européenne. Avec
un rythme de naissances de 3,1 / 1000, en 2015, les Turcs
seront 100 millions (70 millions aujourd’hui), ce qui en ferait l’Etat
le plus peuplé de l’union européenne. 1 européen sur 5 serait turc.
La Turquie compterait plus de représentants au Parlement européen
que la France ou que l’Allemagne. Le pays le plus important
d’Europe serait musulman. Que ce soit au Parlement européen, au
Conseil ou au sein de la Commission, la Turquie pèserait plus que la
France dans le système décisionnel communautaire.
La Turquie en
Europe, un cheval de Troie islamiste ? |
le site
Non à la
Turquie en Europe |
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Dégraissez-moi ça !
de Michael MooreComment noyer les quartiers chics de Los Angeles sous
les ordures, comment organiser des émeutes, comment rentrer illégalement
sur le territoire des Etats-Unis... voilà le programme délirant du livre
de Michael Moore, ex-ouvrier chez General Motors devenu depuis
réalisateur, écrivain, acteur, journaliste et... critique acerbe des
Etats-Unis. A grand renfort de chiffres, de statistiques et de
témoignages et avec un réalisme à toute épreuve, Michael Moore revisite
la réussite capitaliste américaine et donne la parole aux laissés pour
compte : les petits rarement pris en compte dans les considérations
économiques de ce pays, emblème de la réussite et du pouvoir mondial
financier. Hommes d'affaires, industriels, politiciens, nul n'est
épargné par l'humour acerbe de Moore. On rit (parfois jaune) devant les
scandales, les abus dénoncés par un homme qui ne laisse rien passer à
son gouvernement et le système dont il dépend. Par amour des Etats-Unis
sans doute. Par esprit humaniste et civique, sûrement.
On doit aussi à Michael Moore les films Roger et Moi et The Big One,
documentaire construit à partir de la tournée de promotion de ce livre
que Moore a effectué à travers les Etats-Unis, ayant remporté un grand
succès auprès du public français. "Ne laissez pas la France ressembler
au pays injuste et perfide que sont devenus les Etats-Unis"... même dans
ses excès, la force de Michael Moore reste intacte, comme un appel à la
vigilance internationale.
Auteur Michael Moore
Editeur 10/18 |












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Michael Moore Is A Big Fat Stupid White Man
de David T. Hardy, Jason ClarkeWatching Michael Moore in action --
passing off manipulating facts in Bowling for Columbine, spinning
statistics in Stupid White Men and Dude, Where's My Country?,
shamelessly grandstanding at the Academy Awards, and epitomizing the
hypocrisy he's made a king's fortune railing against -- has spurred
authors David T. Hardy and Jason Clarke to take action into their own
hands. In Michael Moore Is a Big Fat Stupid White Man, Hardy and Clarke
dish it back hard to the fervent prophet of the far left, turning a
careful eye on Moore's use of camera tricks and publicity ploys to
present his own version of the truth.
Postwar documentarians gave us the documentary, Rob Reiner gave us
the mockumentary, and Moore initiated a third genre, the crockumentary.
How, they ask, does Moore pull off a proletarian, "man-of-the-people"
image so at odds with his lifestyle as a fabulously wealthy Manhattanite?
And how large of an impact do his incendiary, ill-founded polemics have
on the growing community that follows him with near-religious devotion?
Loaded with well-researched, solidly reasoned arguments, and laced with
irreverent wit, Michael Moore Is a Big Fat Stupid White Man fires back
at one of the left's biggest targets -- politically and literally.
Publisher: Regan Books |












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Une Glorieuse stagnation de A. Cotta
La prévision démographique est à peu près la seule qui
soit fiable. L'évolution à long terme d'une population est à la fois lente
et presque certaine. Ainsi de la diminution de la population européenne dans
les cinquante ans à venir, et plus encore de son vieillissement qui a déjà
commencé et qui va s'accentuer.
Les conséquences économiques de cette évolution sont
d'autant plus prévisibles qu'elles s'inscrivent déjà dans la conjoncture
actuelle. L'investissement chute régulièrement, d'autant plus que notre
Europe vieillissante a délibérément sacrifié ses dépenses militaires.
Il ne sera pas facile pour nos sociétés européennes de
s'adapter à ce déclin démographique. Les grands privilégiés ou "
intouchables " n'en auront cure. Les "exclus", en nombre croissant, se
réfugieront sans contester dans une espèce de marginalisation de bon aloi.
Mais la classe moyenne, soit près de 70% de la population, connaîtra de
telles tensions entre jeunes et vieux que le conflit inter-générationnel
occupera la place laissée par la défunte lutte des classes.
Les politiques, piégés, essaieront bien de prévenir
une installation définitive de la stagnation, mais ils ne recevront aucune
aide d'un corps social qui refusera toute distribution des revenus en faveur
des personnes actives et, a fortiori, tout accroissement sensible de la
durée de travail. Restera l'inflation, seul lubrifiant éventuel aux
ajustements rendus nécessaires par le vieillissement démographique. Mais qui
pourrait la prôner ? Encore faudrait-il que l'allongement de la durée de vie
cessât : mais quel personnage politique pourrait se risquer à faire campagne
sur pareil thème ?
Editeur : Fayard
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L'Art de la guerre de Sun-Tzu
II y a vingt-siècles, dans la Chine des " Royaumes
Combattants ", était rédigé le premier traité de l'art de la guerre.
Sur son auteur, Sun Tzu, l'histoire ne fournit que
quelques traits biographiques et peut-être sont-ils mêlés de légende. Mais
son ouvrage, d'une concision admirable et toujours perceptible malgré les
adjonctions de commentateurs, a été et demeure au centre de la pensée
militaire extrême-orientale.
Au contraire de Clausewitz, Sun Tzu ne voit pas dans
la grandiose bataille d'anéantissement le sommet de l'art du stratège. Si
l'on peut détruire l'ennemi, on se jette sur lui ; mais la " duperie ",
c'est-à-dire la guerre totale du mensonge, peut faire mieux encore.
Il faut lire Sun Tzu comme un grand classique empreint
de sagesse, mais aussi comme la clef d'une meilleure compréhension de la
stratégie russe et chinoise d'aujourd'hui.
Editeur : Flammarion
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La France qui tombe : Un constat clinique du déclin français de Nicolas
Baverez Un constat clinique du déclin français.
Croissance en berne, 10% de chômeurs et autant de travailleurs précaires, le
record de la fiscalité et des jours de grève en Europe, des réformes
ajournées ou réduites au plus petit dénominateur des prébendes à conserver,
une richesse nationale et une audience internationale menacées : la liste
pourrait sans peine être allongée du double.
Les beaux esprits de la réforme consensuelle diront
que le grandes orgues du déclin français jouent un air connu. Sauf que,
cette fois, Nicolas Baverez établit le constat clinique d'un déclassement.
En historien, il pointe repères, étapes, degrés et causes. En économiste, il
démonte les cercles vicieux de l'incapacité française. En essayiste, il
croque l'incapacité des uns, la démagogie des autres et l'aveuglement de
beaucoup.
Aucun pathos dans ce texte écrit au scalpel : les
faits, leur emboîtement et les dangers qu'ils représentent pour notre
présent et notre avenir. Impossible de le réduire à un réquisitoire ou à un
pamphlet : il nous tend le miroir d'un quart de siècle gaspillé. L'Auteur :
Avocat, historien et économiste, Nicolas Baverez signe dans Le Point et au
Monde des éditoriaux aigus, de grande audience.
Editeur : Perrin
L'on ne peut que
constater avec l'auteur qu'il existe, au moins,
un très grand malaise et que les prochaines années risquent d'être
difficiles pour cette France, encore riche,
qui fait pour l'instant,
globalement jeu égal avec l'Allemagne et le Royaume Uni,
pays dont les politiques semblent, dans le détail, mieux préparer le
futur.....
L'originalité de l'auteur c'est de proposer en plus d'un constat amer
quelques solutions pragmatiques. |












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